Un vrai conte de fée

Un vrai conte de fée

Un amour se développe lors d’un événement sportif.

Bonjour je voudrais vous présenté Etienne Portelance et Agnès Douard et leur histoire

Deux athlètes respectables dans notre communauté du club Boreal, Quebec.

Nous nous sommes rencontrés en France en 2003, lors d’une balade à vélo de montagne.

Agnès courait régulièrement, avec 2-3 semi-marathons à son actif
Étienne moins et environ un mois après notre rencontre, nous participions au 20km de Paris, à peu près à la même vitesse. Nous courrions aussi pour le fun autour des tours Montparnasse et Eiffel.

Ensemble, nous nous sommes également lancés dans d’autres aventures : du ski de randonnée alpine, une activité à sensations fortes, dans le cadre minéral époustouflant de beauté des Alpes. Du ski de fond (classique, patin et randonnée nordique), de la voile, la passion d’Étienne, et la fabrication de deux petits lutins que nous avons initiés à tout ça.

Arrivés au Canada en 2008, nous nous sommes remis à la course à pied la fin de semaine, quand nous prenions une gardienne pour pouvoir en profiter ensemble.
En 2014, Étienne a rejoint le club Boréal et n’a cessé d’augmenter ses performances depuis. Nous avons fait l’événement Bonneville à Lachine plusieurs fois, le 21 et le 10 km, Étienne a couru 5 marathons, dont le dernier à Ottawa en 2024, avec un temps de 3h16 qui l’a qualifié pour Boston le 21 avril prochain.

La course à pied est une activité tellement facile à pratiquer, il suffit de chausser ses espadrilles et c’est parti, à n’importe quel moment de la journée, de la semaine, et par n’importe quel temps ou température, nous adorons courir.

Étienne est encore membre du club Boréal et fait profiter Agnès des activités sociales. Par exemple, chaque année, début novembre, nous participons ensemble au cross-country de l’Île Bizard, un plaisir pour la convivialité et les papilles gustatives!

Jean Barrette

Jean Barrette

Bonjour, Je suis Anna Maria.

Je vous présente Jean Barrette.

Jean est un coureur dévoué depuis de nombreuses années et un membre engagé, loyal et productif de ma communauté de coureurs, le Club Boréal.
Jean a servi Boréal en tant que président et vice-président actif, en veillant à ce que nos coureurs soient engagés et motivés, ainsi qu’à ce que le Club Boréal grandisse et reste fort.

Voici son histoire.

Pendant mon adolescence, je pratiquais beaucoup de sports de compétition, principalement le badminton en double et le volley-ball.

À l’époque, cela nécessitait un entraînement exigeant, jusqu’à six fois par semaine, qui se terminait généralement par une course à pied… que je détestais absolument !
La vie professionnelle et les voyages ont ensuite pris le dessus, et j’ai été beaucoup moins actif pendant que mes deux enfants grandissaient.

J’ai décidé de me remettre progressivement à la course à pied pour améliorer ma santé et changer de vie.

Ma première course enregistrée, un 5 km, a eu lieu début 2014, mais je ne faisais pas partie d’un groupe et je ne suivais pas de plan précis.

J’ai eu la chance de participer à une course X-Country du club des coureurs Boréal à la fin de 2014 et je me suis par la suite joint au club, car il était composé d’un groupe incroyable de coureurs de tous les niveaux qui partageaient et fournissaient tellement de conseils, soutenus par un excellent entraîneur avec des plans d’entraînement structurés.

Courir en groupe était tellement plus agréable que de courir seul. J’ai également eu le grand plaisir de rencontrer ma partenaire de vie dans ce club, et son expérience des 5 marathons m’a motivé à participer à des courses et à tenter ma chance pour mon premier marathon, le marathon de Chicago, en 2015. Depuis, j’ai participé à plus de 30 courses (un autre marathon, 10 semi-marathons, 13 5KM-10KM, et quelques courses de relais, duathlons et courses de trail).

Parmi mes meilleurs souvenirs de course, je citerai le récent Marathon du Médoc en 2022 à Bordeaux, en France, où les coureurs se frayent un chemin à travers certains des plus grands vignobles du monde pendant la saison des vendanges.

J’ai également beaucoup apprécié le demi-marathon de Philadelphie, car une quinzaine de membres de Boréal se sont entraînés et ont participé ensemble à cette grande course.
Le point culminant pour moi est le départ de la course. Il n’y a pas d’autre endroit ni d’autre moment aussi inspirant que la ligne de départ.

L’énergie de tous les coureurs qui se sont engagés et disciplinés en suivant un plan, dans les bons et les mauvais moments, malgré les blessures, se rassemble sur la ligne de départ avec des sentiments de joie, de gratitude, de bonheur et d’attentes. À mon avis, ceux qui sont sur la ligne de départ ont déjà gagné.

Bien que les courses soient un moment fort, je dois admettre que nombre de mes meilleurs souvenirs ne sont pas liés une course. Le fait de partager un objectif commun avec un groupe de coureurs cimente de grandes amitiés où les gens se soutiennent et s’entraident.

J’ai vu à maintes reprises de petits gestes pour soutenir et motiver un ami coureur qui ne se sentait pas bien ou qui traversait une période difficile ; ces petites choses font toute la différence du monde et sont une source d’inspiration.

La course à pied est une expérience très humaine et, sur les longues distances, une expérience mentale et même spirituelle. Désormais, j’emporte toujours mon équipement de course à pied lorsque je voyage pour le travail ou pour le plaisir. Ces courses sont un pur bonheur, qu’il s’agisse de courir dans les vignobles de Pinhao au Portugal, de découvrir les jardins anglais et le Rathaus de Munich, ou de courir le long de la Seine à Paris.

Un moment clé de mon parcours de course à pied s’est produit au début, lors d’une course d’entraînement de 10 km en solitaire. Rien n’allait, ni physiquement ni mentalement. En passant sur le parking d’un supermarché de Beaconsfield, j’ai remarqué une mère qui poussait son fils tétraplégique sur une énorme chaise. Je l’ai aidée à mettre ses sacs dans la voiture pendant qu’elle y transférait son fils. Aujourd’hui encore, lorsque j’ai une mauvaise course (cela n’existe pas), je me souviens de ce moment et je me rappelle que c’est un privilège de courir et que nous courons non seulement pour nous-mêmes, mais aussi pour ceux qui ne peuvent pas le faire.

Ce sentiment de gratitude envers la course à pied et le Club des coureurs Boréal m’a motivé à donner en retour du mieux que je peux. J’ai été un membre actif de l’exécutif du club et j’ai été élu président en 2018, un rôle que j’ai conservé pendant trois ans et demi alors que nous traversions la pandémie. J’assume maintenant le rôle de vice-président.

Les membres de l’exécutif de Boréal donnent tous de leur temps libre pour faire de Boréal le meilleur club possible. Essentiellement, nous gérons une petite entreprise avec les finances, les activités, le recrutement, le Web et les médias sociaux, l’organisation des courses, la coordination de l’entraînement, la liaison avec les entraîneurs, pour n’en nommer que quelques-uns. Je suis très fier du travail accompli par les dirigeants pour que le club soit le meilleur possible. Bien que le club ait été légalement formé en 1998, sa création remonte à 1994 ; nous célébrerons donc les 30 ans de Boréal en 2024 !

Aujourd’hui, le club est dans la meilleure position qu’il ait eue depuis des années, avec une croissance visant à atteindre 100 membres bientôt, des activités et un rajeunissement des membres, un financement unique de Sport Québec, un entraîneur et un entraîneur associé reconnus, mais surtout, une communauté vibrante de coureurs qui partagent un but commun et de l’amour.

Venez courir avec nous, nous serions ravis de vous accueillir

une petite histoire sur Olivier Roy-Baillargeon

une petite histoire sur Olivier Roy-Baillargeon

Bonjour,

J’aimerais vous présenter à Olivier Roy-Baillargeon ,

La seule personne que je connaisse qui n’a pas un  permis à conduire.

Olivier se déplace qu’à pied ou à vélo…… Ce jeune portant des lunettes de soleil rouges est notre mentor au sein de mon club Boréal.  http://www.borealclub .net

Voici son histoire.

J’ai commencé à courir en 2014, pour me déplacer entre la maison et l’Université de Montréal, où je faisais mon doctorat en urbanisme. Deux ans plus tard, quand j’ai commencé mon projet de recherche postdoctorale, j’ai décidé de me pencher sur les déplacements utilitaires par la mobilité active (p. ex., marche, course à pied, vélo, trottinette), et sur les aménagements qui les incitent ou les facilitent (p. ex., élargissements de trottoirs, pistes cyclables, vélorues). Par la force des choses, courir en ville, et réfléchir aux conditions à remplir pour rendre la ville plus conviviale et plus sécuritaire pour les marcheurs, les coureurs et les cyclistes, m’a amené à allier mes deux passions et mes deux champs d’expertise.

une petite histoire sur Olivier Roy-BaillargeonJ’ai continué à courir de plus en plus en souvent, et à m’entraîner de plus en plus assidûment, jusqu’à ce que je complète mon premier marathon, à Ottawa, en mai 2016, en 2 heures 45 minutes. À ce moment-là, j’ai compris que j’avais un certain talent pour la course sur route, et j’ai commencé à concentrer mes énergies sur cette épreuve, jusqu’à abaisser mon record personnel à 2 heures 32 minutes, en juin 2018. Puis, trois semaines plus tard, par un curieux concours de circonstances, j’ai fait mes premiers pas sur 50 km, toujours sur route, et jusqu’à atteindre le standard de qualification pour les Championnats du monde de cette épreuve. Je suis donc allé y représenter le Canada, le 1er septembre 2019, à Brasov, en Roumanie. D’un seul coup, mon état d’esprit et mon identité sont passés de coureur récréatif à ultra-marathonien dévoué.

Parallèlement à ma pratique personnelle en tant qu’athlète, j’ai aussi développé mes compétences en entraînement et en prévention des blessures en course à pied, grâce au cursus de formation de La Clinique Du Coureur. Rapidement après être devenu coach et avoir commencé à m’illustrer de plus en plus sur la scène québécoise de la course sur route, je me suis joint à cette magnifique entreprise pour contribuer à développer son offre de formation pour les professionnelles du sport et de la santé, en matière d’entraînement et de prévention des blessures. Depuis que j’y œuvre, je ne cesse de développer de nouvelles compétences et de bonifier mon expertise, grâce à mes inestimables collègues, devenus mes meilleur.e.s ami.e.s.

Notre mission, à La Clinique Du Coureur, c’est de vulgariser et de démocratiser les plus récentes avancées scientifiques afin de rendre accessible un savoir fiable qui contribue à améliorer la santé des populations. En tant qu’artisan de cette organisation, je m’efforce, par toutes mes interventions au sein de notre magnifique communauté, de démontrer à tout le monde que la course à pied est un sport agréable, abordable, facile à pratiquer et qui a un effet positif phénoménal sur la santé, tant physique que mentale. Je veux que tout le monde découvre que, grâce à l’activité physique, son corps devient plus sain, plus fort, plus endurant et, surtout, capable de beaucoup plus que ce que l’on croyait.

 

une petite histoire sur Olivier Roy-Baillargeon

Si bien que je n’entraîne pas que des athlètes dévoués, membres de clubs ou abonnés à notre forfait Personnalisé; je suis aussi l’entraîneur privé de ma conjointe, Dominique, qui revient de très loin et qui a commencé à courir, tout récemment, après avoir surmonté le défi colossal de vaincre la maladie de Parkinson, en quelque sorte. Mon rêve, c’est qu’un jour, nous courions un marathon ensemble, avec notre fille Camille (qui n’a pour l’instant que 6 ans ½, donc ça nous laisse du temps!). En fait, à très long terme, j’aimerais devenir le grand-papa le plus rapide au Québec, et courir des marathons jusqu’à ce que mes petits-enfants soient plus endurants que moi. Au rythme où vont les choses, j’en ai pour encore au moins 50 ans avant d’accrocher mes chaussures et de céder ma place aux prochaines générations.

Club Boréal Vs Cabot Trail

Club Boréal Vs Cabot Trail

Tout débute le 10 décembre 2022 alors que membres du Club Boréal sont réunis pour un dîner de Noël.

Alain Moureaux a subitement la merveilleuse idée de former une équipe de 17 coureurs qui se rendra en Nouvelle-Écosse pour courir l’évènement du , la Cabot Trail Relay race

Un mini comité est formé, avant que le dessert soit servi; Jean Claude Calabro, et moi-même Anna Maria Drouin se partageons quelques tâches et choisissons le nom de l’équipe : Nous serons les Boréal Buzzards.

Club Boréal Vs Cabot TrailLa course annuelle de la Piste Cabot est une course à relais de 185 miles/276,33 km, en 17 étapes, à travers certains des plus beaux paysages du monde… commençant à Baddeck, au Cap-Breton, traversant des montagnes escarpées dans le parc national des Hautes Terres du Cap-Breton, de nombreuses petites communautés autour de la célèbre Piste Cabot, jusqu’à la vallée de la Margaree, légèrement vallonnée.

C’est le Le 25 mai-2023 dernier à 7 :32 am qu’à lieu le grand départ des Boreal Buzzards de Montréal, QC, pour Baddeck, Nouvelle Ecosse.

Notre mission est de courir 276,33 km, une course à relais en 17 étapes.

Premier défi et non le moindre, sortir de la ville de Montréal et éviter les embouteillages de l’heure de pointe. Mais nous sommes confiants et bientôt nous sommes sur l’autoroute, quelle belle journée.

Club Boréal Vs Cabot Trail

Après 15 heures de route ou l’on s’échange le volant à tour de rôle, la pluie forte qui nous ralentit un peu, nous arrivons à Baddeck sans problème. Il est tard et la nuit est sombre.

Nous sommes accueillis par nôtre capitaine Alain Moureaux, les clés de l’hôtel en main, qui s’assure que même si la réception de l’hôtel est fermée, nous serions tous dans nos chambres pour une bonne nuit de sommeil. Merci Alain

Le lendemain de notre arrive, on relaxe et on se prépare pour la grande aventure du lendemain :  petite rencontre d’équipe, des petits entraînements ou marche et le souper d’équipe.

Club Boréal Vs Cabot Trail

Enfin les Boreal Buzzards se retrouvent. Si heureux de se revoir on sent l’excitation dans l’air et la fierté de notre capitaine. On se couche tôt pour une bonne nuit de sommeil en se donnant rendez-vous le lendemain matin pour notre grande célébration, la course.

Même s’il a plu toute la nuit, le lendemain matin c’est un magnifique arc-en-ciel qui nous accueille accompagné d’un jeune cornemuseur qui s’en donne à cœur joie sur la ligne de départ.

Les Boreal Buzzards de Montréal sont la seule équipe représentant le Québec et c’est avec une grande fierté que nous avons conquis les 17 étapes.

Je vous présente nos coureurs les Boréal Buzzards

Étape 1=  17 km, Anna Maria Drouinassistante administrative

Étape 2=  17,92 km, Caroline Harvey                                                               Étape 3=  13.46 km, Fabienne Moureaux Moysey             

Étape 4= 20.01 km, Alexander Gombos                                                          Étape 5=   17, 5 km, Johanna Price,   

Étape 6=  17, 5 km, Brian Price                                                                         Étape 7=   13,1  km, Sheila Foley,        

Étape 8 =  12,36  km Johanne Vincent                                                             Étape 9 = 17, 84 km, Arnab Barua    

Étape 10 = 14.7 km, Ji Tammy                                                                          Étape 11 = 14 km, Alain Moureaux ,(Papou.)  Capitaine

Étape 12= 15,78 km Brian Levy,  conducteur de voiture de soutien

Étape 13 = 15.88 km Ian Perowne,                                                                  Étape 14 = 19.81 km, Jean Claude Calabro – Co capitaine

Étape 15 = 15.42 km,  Chanel Calabro –  trésorière                                     Étape 16= 15.35 km Mark McGowan,  

Étape 17= 18.7 km, Christine Bush ,  créateur du pull ( hoodie ) de notre équipe 

Club Boréal Vs Cabot Trail

Tout un rêve,

Merci à Brian Gibb , pour nous avoir conseillé une méthode pour nos finance, merci à club Boréal  http://www.borealclub.net/  pour l’aide financière .

Anna Maria Drouin

L’importance des bénévoles dans une course

L’importance des bénévoles dans une course

Le jour de votre évènement est enfin arrivé. Vos amis et toute la famille seront à ligne d’arrivée pour vous féliciter.

Vous vous êtes entrainé pendant des mois, vos chaussures de course et vos vêtements son parfait, vous avez lu les règlements de la course mille fois.

Calmement vous prenez le petit déjeuner, vous placez votre dossard sur votre chandail de course. Oui ça va bien aller. J’ai encore 4 heures avant le départ de ma course…je suis calme.
Pendant ce temps, une autre course prend lieu…oui la course des bénévoles…….

L’importance des bénévoles dans une course.Ils arrivent 4 heures avant vous, sautent leur petit déjeuner car ils ne veulent pas manquer leur transport et être en retard pour la préparation de votre évènement.

Ils doivent mettre en scène le parcours de votre évènement, placer les tables d’eau, remplir les verres d’eau, et la boisson électrolyte, réviser les détails sur la sécurité des athlètes.

Chacun a son poste, pour que personne ne se perd, oui nous allons nous assurer que vous suivrez les bonnes directions sur le parcours.

Il reste 5 minutes avant le départ…oui nous sommes prêts, ça va bien allez ……GO.

 

L’importance des bénévoles dans une course.La fête commence… les verres d’eau en main, WOW nous sommes tellement excités pour vous…. les encouragements, sont lancés à chacun de vous, car nous savons que vous avez travaillé très fort pour arriver à ce merveilleux moment.

Oui vous êtes capable.

Nous voulons que vous arriviez à la ligne d’arrivée pour recevoir votre médaille de participation et ou votre famille, amis vous attendent.

Du premier coureur au dernier, nous restons la, verre d’eau en main, sourire sur nos visages…et surtout toujours avec des félicitations à vous donner.

 

L’importance des bénévoles dans une course.

Bravo, vous avez réussi…… félicitations, et a l’an prochain.

Club Boréal en action comme bénévoles au Demi-Marathon de Montréal Avril 2023…… Nous savons qu’un sourire, un mot d’encouragement fait toute la différence.

Est-ce possible une course sans bénévoles…