À quoi s’attendre pour la 25e édition du Marathon Beneva de Québec présenté par Montellier?

À quoi s’attendre pour la 25e édition du Marathon Beneva de Québec présenté par Montellier?

En 2024, le Marathon Beneva de Québec atteint une étape marquante : sa 25e édition!

Cette année, pour célébrer cet anniversaire spécial, les coureurs, supporteurs, touristes et citoyens pourront profiter d’une multitude d’activités dispersées à travers la ville, sur le parcours ainsi que sur le site de l’événement.

Le Marathon de Québec en quelques lignes

Le Marathon Beneva de Québec présenté par Montellier offre une variété d’épreuves adaptées à tous les goûts : Course des jeunes (2 km), 5 km de la santé Beneva, 10 km Sports Experts, 21,1 km Shop Santé présenté par WKND 91,9 et 42,2 km Beneva. Le parcours pittoresque traverse 9 quartiers et 3 arrondissements et offre la chance aux participants de courir à proximité de sites emblématiques de la ville de Québec, tels le célèbre Château Frontenac et les Plaines d’Abraham. Les coureurs défilent également sous les fameux parapluies suspendus au-dessus de la Rue du Cul-de-Sac.
Le Marathon Beneva de Québec

Célébrer ensemble le 25e anniversaire!

Du 4 au 6 octobre 2024, plus de 13 500 coureurs sont attendus pour la 25e édition du Marathon Beneva de Québec présenté par Montellier, qui s’annonce mémorable.

La ville entière sera en fête avec des animations et festivités spéciales qui s’étendront dans toute la ville ainsi que sur la place Jean-Béliveau, point de départ de toutes les épreuves.

Cette année, cinq jours d’activités gratuites seront proposés en mode pré-événement du 30 septembre au 5 octobre 2024 dans le cadre de la Semaine GO. Parmi les incontournables, l’Expo Je Cours Qc sera de retour pour offrir gratuitement des conférences, ateliers et démonstrations ouvertes à tous.

Que vous soyez un coureur chevronné, un passionné de sport ou simplement curieux, la 25e édition du Marathon Beneva de Québec présenté par Montellier est un rendez-vous à ne pas manquer pour vivre pleinement l’énergie et la joie que cet événement apporte à la ville de Québec!

Obtenez tous les détails.
https://www.jecoursqc.com/marathon-quebec/epreuves/

Pas une option le D.N.F.

Pas une option le D.N.F.

Communément appelé le DNF pour did not finish, l’abandon d’une course peut tantôt être perçu comme intelligent, tantôt comme lâche selon la situation.

En effet, si l’on sent qu’une blessure nous guette ou que notre santé pourrait être compromise (déshydratation ou coup de chaleur, par exemple) le fait de ne pas terminer une course est plutôt judicieux. D’un autre côté, si la performance attendue lors de l’événement n’est pas au rendez-vous et que l’on décide d’abandonner car notre chrono ne nous satisfait pas, la décision me semble plus discutable.

Lors du demi-marathon de Longueuil en mai dernier, il est devenu clair après seulement 6 kilomètres que mon objectif du jour ne serait pas à portée de main. Dès lors, j’ai mentionné à ma partenaire du jour de poursuivre sa route et de ne pas m’attendre. J’ai ralenti le rythme d’une dizaine de secondes par kilomètre en sachant fort bien que la possibilité de ne pas pouvoir regagner celles-ci était plutôt élevée. J’ai décidé de m’accrocher à un chiffre rond sur ma montre qui correspondait plus ou moins à mon allure marathon souhaitée. Mon état d’esprit est passé de <<chasse au PB>> à <<gros entraînement du dimanche>>. J’ai terminé la course en contrôlant la perte de vitesse, mais en étant constant avec ma nouvelle cible.

Maintenant, regardons pourquoi le DNF n’a pas représenté une option. Peut-être y trouverez-vous deux ou trois trucs qui vous aideront lors de courses plus difficiles où la tentation d’abandonner est présente.

  1. Papa ours :

Ma famille était sur place. Je n’aurais pas éprouvé beaucoup de fierté en expliquant à mon garçon de 5 ans que papa a abandonné parce qu’il était fatigué et/ou découragé. La persévérance est une valeur assez importante pour que je montre à mes enfants que l’on continue dans l’adversité.

  1. C’est bien l’échec!

Même si les paradigmes sociétaux évoluent depuis quelque temps, l’échec est encore vu comme quelque chose de négatif en occident. Or, c’est souvent à la suite de contre-performances que les plus grands joueurs ou athlètes se lèvent et retournent à la planche à dessin. Comme l’a déjà dit Nelson Mandela : <<Je ne perds jamais, sois je gagne, sois j’apprends>>

Pas une option le D.N.F.

  1. Faites ce que je dis, pas ce que je fais…

J’enseigne à des élèves de 6ème année. Ceux-ci sont au courant des courses de leur prof et je joue franc-jeu avec eux quant à mes objectifs. Avant de partir pour Longueuil, mes élèves savaient donc que la barre des 1hr20 minutes était dans la mire de M. Danick. Bien entendu, avec les discours de persévérance scolaire et d’engagement dans leur réussite que nous livrons aux jeunes de nos classes, mes élèves auraient eu bien raison de me juger si j’avais stoppé ma course en boudant ma performance.

  1. Gratitude, gratitude, gratitude!

Le parcours du demi de Longueuil nous a fait passer devant une résidence qui semble être destinée à des personnes ayant des besoins particuliers. À cet endroit, deux jeunes adultes étaient dans leur fauteuils roulants et nous encourageaient du mieux qu’ils le pouvaient. Il est évident que la fatigue dans mes jambes s’est fait oublier à cet endroit précis.

  1. Un D.N.F est toujours bien mieux qu’un D.N.S!

Finalement, malgré tous ces conseils, vous n’arrivez pas à terminer une course et que l’abandon vous semble la seule option possible, vous pouvez tout de même vous dire qu’un did not finish vaut toujours mieux qu’un did not start.

Bonnes courses estivales!

Tu cours pour quoi?

Tu cours pour quoi?

Courir pour se sentir vivant, courir pour performer, courir pour oublier, courir pour sa vie.

Toi tu cours pour quoi? Qu’est-ce que tu aimes dans la course à pied? Cours-tu par habitude, par lassitude? Cours-tu pour fuir ton quotidien, ou pour donner un sens à ta vie?

Qu’est-ce qui fait qu’un jour tu as choisi la course à pied? Qui t’a inspiré et comment as-tu réussi à franchir le pas et te lancer dans ce sport?

On court chaque jour, chaque semaine, chaque mois, on court et on court et on ne sait plus pourquoi! Est-ce que courir est devenu une habitude plus qu’un sport? Est-ce que cela est aussi exaltant, aussi satisfaisant que les premières fois?

On court aussi pour arriver à l’heure au travail, on court pour être là pour nos enfants après l’école, on court pour essayer de se donner du temps pour soi, bref, on court toujours!

Est-on trop obnubilé par notre petit quotidien pour ne plus ressentir le besoin de se dépasser? Ou bien on court trop pour combler un vide dans notre vie et dans nos cœurs.

As-tu eu un déclic ou une inspiration qui t’a amené à pratiquer ce sport? Ou bien tout comme moi tu as choisi ce sport car il était abordable et simple?

J’ai posé la question aux femmes de mon club de course, voici un résumé de leurs réponses :

  • Les raisons de courir : Pour être en santé, c’est simple, sport peu couteux, facilité d’accès (pas besoin de prendre sa voiture), accommodant pour un horaire avec la famille et le travail, sentiment de liberté, avoir plus d’énergie, pour décrocher, se retrouver avec soi-même, pour réfléchir et se dépasser.
  • Pourquoi avoir commencé ce sport? : à la suite d’une blessure ou d’une maladie (retrouver la santé), d’un évènement marquant, d’une circonstance de la vie, d’une prise de conscience, d’un conseil d’un professionnel de la santé, pour les compétitions, afin de donner l’exemple aux enfants, sous l’effet de l’influence d’amis et afin de se remettre en forme.
  • Quelles motivations fait que tu cours encore?: Pour garder une bonne santé physique et mentale, pour le côté social (courir en groupe), sentiment de plénitude ressenti lorsque qu’on court, participer à une compétition, inspirées par des modèles qui donnent le goût de se surpasser et tout simplement car on a eu la piqûre et qu’on ne peut plus s’arrêter!

Je trouve cela super intéressant, inspirant et motivant d’écouter le parcours de chaque personne. On se fait souvent des scénarios ou des idées préconçues dans nos têtes lorsqu’on croise quelqu’un qui a beaucoup d’expérience. Il n’y a pas longtemps, j’ai pris le temps d’observer certaines de ces personnes qui ont fait plusieurs marathons, cela m’a toujours impressionnée, car je suis loin d’être rendu à ce niveau. Je ne suis pas jalouse, ni envieuse, juste curieuse et intriguée. J’ai toujours pensé que ces personnes étaient comme des super héros, et finalement je me suis rendu compte que non ce sont des hommes et des femmes comme vous et moi, bien normaux sous toutes les coutures! Je me suis dit eh bien j’imagine que si je le voulais réellement je pourrais moi aussi me rendre aussi loin qu’eux!

Finalement, mon constat est que tout le monde a sa propre histoire, son vécu, qui est différent pour chacun d’entre nous. Peu importe l’âge, le sexe, l’expérience, la vitesse, les handicaps, on est tous unis ensemble par la même passion, la course à pied! Ce qui est indéniable, c’est ce commentaire qui revient souvent : le bien-être ressenti lorsqu’on court. Cette adrénaline qui court dans nos veines, ce frisson qu’on ressent, c’est ce qui je crois nous donne le goût de recommencer encore et encore et pour aussi longtemps que la vie nous le permettra!

Deuxième

Deuxième

 

Je suis parti courir. Et je suis arrivé deuxième. J’ai reçu la nouvelle par texto, on n’arrête pas le progrès. J’étais de retour à la maison quand mon téléphone a vibré. Un message intitulé « Votre performance de course » : Guy Ménard dossard 5238, catégorie 5km Hommes 60-69, temps officiel 32.04, Position par catégorie, 2e ».

Deuxième, quand même! Un peu au-delà de mes espérances. J’ai immédiatement partagé la grande nouvelle avec Mme Ménard qui n’en revenait pas. Elle avait bravé les mauvaises conditions météo pour venir m’encourager, on était pas mal fiers.

Je n’avais pas participé à une course organisée depuis plusieurs années. Pas la grosse affaire, un événement qui s’appelle le Défi des familles. Quand même, à Chambly ce matin-là, on était environ 500 inscrits pour des distances de 1,2,5 ou 10 km.

Ce rendez-vous du 5 mai m’avait incité à courir plus assidûment pendant l’hiver. C’était l’objectif, me garder motivé sur le tapis roulant.

Je me retrouve donc sur la ligne de départ à 8h40. Il fait froid, il vente et il pleut. Est-ce que c’était vraiment une bonne idée? Mais l’animatrice est rendue à 3, 2, 1… un peu tard pour reculer. Le troupeau s’élance en direction de la bande du canal de Chambly.

Peu à peu le peloton s’étire, tout le monde trouve son rythme. Mon rythme, comme je n’ai pas tant de kilométrage que ça dans le corps, c’est « me rendre à la fin ». Je consulte ma montre régulièrement pour m’assurer que je garde une allure raisonnable sans me laisser influencer par la vitesse des autres. Le podium n’est pas une cible.

Il y a des coureurs dans tous les styles. Ça va de ceux qui courent léger sur la pointe des pieds jusqu’à ceux qui, comme moi, avancent comme des diesels, lourdauds, constants, pas rapides.

Quand tu dis pas rapide, il a fallu que j’allonge un peu les foulées pour dépasser vers la fin un gars en fauteuil roulant. Pas un fauteuil de course à la Chantal Petitclerc. Un fauteuil roulant de ville!

Toujours est-il que je passe la ligne d’arrivée. On traîne pas trop sur place en raison du froid. De retour à la maison, le temps de prendre une douche bouillante, mon résultat tombe sur l’iPhone : 2e.

Passé le petit moment de fierté, j’ai cette réaction pas très noble : « C’est qui le #&#%*@ qui a fini premier? » Je regarde les résultats globaux… catégorie H 60-69… Diego Masmarti. Diego! Je le connais, un vieux chum de vélo au club de Chambly. On s’était même écrit avant la course et on s’est croisé dimanche avant le départ.

Mme Ménard me confirme que Diego est arrivé pas mal de temps avant moi. C’est donc ça qui est ça, j’ai terminé 2e avec un bon bout de retard sur Diego.

Là vous vous dites : « Oui, c’est bien beau finir 2e mais vous étiez combien dans la catégorie H 60-69? »

C’est une excellente question.

On était 500 coureurs inscrits, 129 pour le 5 km. Dans la catégorie Hommes 60-69, c’est sûr que c’est un peu moins achalandé… du monde qui court encore dans la soixantaine, il n’y en pas tant… donc on n’était pas si nombreux… on était…

Deux

On était deux coureurs, dans la catégorie Hommes 60-69.

Riez, riez, oui, j’ai fini deuxième dans une course à deux.

« La pluie de vos insultes glisse sur le parapluie de mon indifférence. » *

Depuis dimanche, j’ai avalé, un peu de travers. Maintenant, je considère mes options. Soit que je trouve quelque part une nouvelle pointe de vitesse pour rattraper Diego ou je patiente quelques années, le temps d’entrer dans la catégorie 70 ans et plus, j’y arriverai avant lui.

Oui, messieurs-dames, j’en suis à ce point dans ma misérable carrière sportive où les choix sont une amélioration peu probable ou l’attrition de la concurrence.

Je médite là-dessus, espérant que d’ici là, aucun jeunot de 71 ans ne se découvre subitement une passion pour la course à pied.

*Citation anonyme, me semble que je l’attribuerais à Achille Talon.

Une histoire d’amour entre le Canada et le Bénin

Une histoire d’amour entre le Canada et le Bénin

La rencontre sportive de l’union et de l’unité sa¬crée des peuples organi¬sée par les Oblats de Saint François de Sales du Dio¬cèse de PARAKOU s’est déroulée le samedi 10 Fé¬vrier 2024 sous le thème :
« La nature est belle pour nous dire qu’elle vient de Dieu, mais a des défauts pour nous dire qu’elle n’est pas Dieu ».

Au total, 846 athlètes dont 514 hommes et 332 femmes issus de quinze nationali¬tés (béninoise, allemande, française, ougandaise, togo¬laise, burkinabé, congolais, nigériane, américaine, britan¬nique, indienne, canadienne, sud-africaine ghanéenne) ont participé aux différentes courses (5 km,10 km,21Km,42 km) de cette 16ème édi¬tion du marathon Salésien dans une ambiance festive.

À 6h, 8h et 9h les coups de sifflet ont tonné pour lancer les courses respectivement des 42,195 Km à Badékparou, des 21,100 km à la hauteur de l’avenue de la paroisse Saint François de sales et des 10 km et 5 km à Baka devant le portail de la Communau¬té de formation des oblats.

Le circuit des 42 km et 21km est resté inchangé à ce¬lui des années antérieures sauf le circuit des 10 km et 5 km qui a été déplacé pour Baka. La particula¬rité de cette année est la participation d’un handica¬pé moteur à la compétition.

Mention honorable pour le Comité d’organisation. Tout était au rendez-vous afin de donner un cachet spécial à l’évènement : les points de ravitaillements, les pancartes de signalisations, les offi¬cielles, les forces de sécurité publique, pour le volet sécu¬ritaire, les ambulances des sapeurs-pompiers pour les urgences, l’équipe médicale et les nombreux bénévoles.

À la ligne d’arrivée, les trois premiers de chaque cir¬cuit catégorie hommes et femmes ont reçu des prix composés d’enveloppe, de trophée et de lot de consola¬tion, des prix spéciaux ont été remis à certaines personnes à savoir : la personne la plus obese, la plus âgée et le plus endurant. Également le plus jeune de la compétition et le dernier à terminer les 42 km.

À la fin les organisateurs se sont réjouis de la bonne am¬biance et lancent un appel à l’endroit des partenaires : « Pour cette 16 ème Édition nous avons eu des difficultés de pouvoir rendre autonome le marathon. On aimerait qu’à la 17ème édition les bonnes volontés se manifestent afin de nous aider. Car le mara¬thon nous revient cher » A dé-claré le Révérend Père Luc (OSFS). Quant au R.P. Da¬niel DEGNIBO, il rend grâce à Dieu et se fond en remer¬ciements : « nous bénissons le Seigneur pour cette 16ème édition du marathon salésien de Parakou. Nous avons eu une belle fête de la course à pied et nous pensons que les athlètes vont désormais plus faire attention à leur environ-nement notamment la gestion des déchets dans leur diffé¬rents ménages afin que nous ayons une nation plus propre. Nous remercions les béné¬voles, les officiels techniques, les médias, les congréga¬tions religieuses, les Forces de sécurité publique, le corps médical en fin le coordina¬teur du marathon, le R.P. guillaume ».

Luc GELINAS qui est à sa 11ème participa¬tion apprécie : « Hu¬guette et moi, c’est notre 11ème participa¬tion. Donc je peux dire que cette année, le so¬leil était encore au ren¬dez-vous, mais ce que j’observe c’est qu’il y a une belle transition au niveau du Comité d’or-ganisation : ce sont les jeunes qui prennent la relève. Et j’ai vu des belles choses qui sont faites ; de beaux gi¬lets avec de couleur très voyant, des points d’eaux ont été très bien placés aussi. D’année en année, je veux que le marathon devienne encore plus fort ».
Organisateurs, spec¬tateurs et compéti¬teurs se sont sépa¬rés dans l’espoir de se retrouver l’an pro¬chain à la 17ème édi¬tion qui aura lieu le 8 Février 2025 sous le thème :”Levez-vous après avoir été assis”.

Le soutien à ce pro¬jet a débuté par une première participa¬tion au marathon. Par la suite, mon épouse Huguette (Béninoise) et moi sommes venus régulièrement à cet événement sportif ras¬sembleur. II est a noté que c’est grâce au Marathon que j’ai pu rencontrer Huguette et que celle-ci a ac¬cepté de devenir ma nouvelle compagne de vie en août 2012.

Pendant quelques années, le Marathon d’Ottawa (Mr. Joe) a fournis gratuitement des gilets souvenirs aux participants. De plus, des personnes du Québec sont venues découvrir ce projet.

Nous remercions Maude G. (2014), François R. (2014) et Diane (2015) de Ga¬tineau ainsi que Guy D. (2023) de Saint-Cy¬prien (Bas St-Laurent).

Courir sous les Étoiles : Conseils et Attirail Estivaux pour des Courses Nocturnes Sans Soucis!

Courir sous les Étoiles : Conseils et Attirail Estivaux pour des Courses Nocturnes Sans Soucis!

Courir le soir en été, c’est comme un festival de plaisir sous les étoiles, mais avant de te lancer dans l’aventure, assure-toi d’avoir tout ce qu’il faut pour que ça soit une réussite. Que tu sois un(e) accro de la course ou juste là pour le plaisir, voici quelques trucs et équipements indispensables pour te garantir une expérience estivale sans tracas!

1. Planification et visibilité :
Avant de partir explorer les rues, prends le temps de planifier ton parcours. Opte pour des quartiers bien éclairés et familiers où tu te sens à l’aise. Si t’as un(e) partenaire de course, c’est encore mieux pour la sécurité et la compagnie. Et pour être sûr(e) de te faire remarquer, enfile tes vêtements les plus colorés ou un gilet réfléchissant pour briller de mille feux sous la lune!

2. Éclairage :
Pense à investir dans un bon éclairage pour éclairer ton chemin et être vu(e) par tous. Une lampe frontale est ton meilleur allié pour garder les yeux sur la route. Ajoute à ça des lumières clignotantes à fixer sur tes habits ou tes chaussures pour attirer l’attention comme une luciole dans la nuit!

3. Identification et communication :
N’oublie pas d’avoir une pièce d’identification sur toi au cas où l’aventure prendrait une tournure inattendue. Une application de suivi GPS peut être une de tes meilleures amies en cas de pépin. Et garde toujours ton téléphone portable bien chargé pour pouvoir rester en contact avec tes proches si besoin.

4. Hydratation et nutrition :
Surtout sous la chaleur de l’été, pense à bien t’hydrater et à te nourrir. Emporte une bouteille d’eau fraîche ou une ceinture avec porte-bouteille pour ne pas te déshydrater pendant ta course. Et n’oublie pas de glisser dans ta poche quelques collations légères comme des barres énergétiques ou des fruits secs pour recharger tes batteries en cours de route.

5. Préparation aux conditions météorologiques :
Avant de partir, vérifie la météo pour t’habiller en conséquence. Opte pour des vêtements légers et respirants pour rester au frais sous le chaud soleil estival. Et si jamais un orage se pointe, assure-toi d’avoir des vêtements imperméables et des chaussures adaptées pour ne pas te faire surprendre par les gouttes.

6. Écoute ton corps :
Écoute toujours les signaux de ton corps pendant ta course. Si quelque chose te semble louche, prends une pause et repose-toi si nécessaire. Pas besoin de forcer, surtout la nuit où les obstacles peuvent être plus difficiles à repérer.

Courir sous les étoiles en été, c’est comme une fête à ciel ouvert. Avec ces conseils et ces gadgets, tu peux transformer tes courses nocturnes en une aventure inoubliable. Reste vigilant(e), prends soin de toi et surtout, profite à fond de chaque instant sous le magnifique ciel estival!