BAISSE DE MOTIVATION?  VOICI COMMENT LA GÉRER

BAISSE DE MOTIVATION? VOICI COMMENT LA GÉRER

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Tu as signé pour ta première course ? Ou ta cinquième ? Peu importe ton niveau, une préparation sur plusieurs mois, c’est un vrai marathon mental. Et parfois, la motivation n’est plus présente.

Entre les entraînements de plus en plus intenses, la météo, le boulot, les imprévus du quotidien… les hauts et les bas font partie du jeu. Voici quelques astuces pour retrouver le plaisir de courir.

1. Change de décor

Toujours le même parcours près de chez toi ? Pratique, mais parfois lassant. Planifie ta sortie longue du week-end dans un endroit différent : un sentier en forêt, un bord de fleuve, un parc que tu ne connais pas… Un simple changement de cadre peut suffire à reprendre plaisir.

2. Rejoins un club de course

Courir à plusieurs, c’est motivant. Tu rencontres d’autres passionnés, tu partages tes objectifs, tu te nourris de l’énergie du groupe. Et franchement, les kilomètres passent plus vite quand on discute.

3. Fais de ta sortie un rendez-vous avec toi-même

Toute la journée, tu es sollicitée : boulot, enfants, notifications… Et si courir devenait ton moment à toi ? Utilise ces minutes pour déconnecter, réfléchir, respirer… ou ne penser à rien du tout.

4. Faire une pause, c’est parfois la meilleure option

Une surcharge d’entraînement, un changement dans ta vie, un coup de mou : parfois, s’accorder 3-4 jours off permet de recharger les batteries. Tu reviendras avec plus d’envie sur ton objectif.

5. Fatigue? Pense à ton alimentation.

Tu enchaînes les séances, tu augmentes ta charge d’entraînement… mais est-ce que ton alimentation suit ?

Fatigue = perte de performance = perte de motivation

De petits ajustements sur tes apports peuvent parfois faire toute la différence sur ton état général.

6. Fais-toi un cadeau sportif

Une nouvelle paire de chaussures, un short dans lequel tu te sens bien, un accessoire motivant… S’équiper, ça peut remotiver. Passe à la boutique, on est là pour t’aider à te faire plaisir (et relancer la machine).

7. Tu as réalisé ton objectif? Et après?

Tu viens de cocher ton objectif, et maintenant tu te sens un peu… vide ? C’est normal. Tu as tenu un rythme de fou pendant des mois, tu as tout donné. Tu peux lever le pied sans culpabiliser.

Profite de la période estivale pour essayer d’autres sports, rattraper le temps mis entre parenthèses, ou simplement te reposer. Puis, quand l’envie revient, réintègre doucement la course dans tes semaines, sans pression. Juste pour le plaisir.

MON MARATHON DE GUÉRISON (suite)

MON MARATHON DE GUÉRISON (suite)

Pour m’aider à traverser cette période d’arrêt forcé de la course à pied, j’ai décidé d’écrire un second texte qui touche cette histoire médicale de ma vie qui pour moi est un autre signe qui m’indique que la Providence m’accompagne sur mon chemin terrestre.

Tel que mentionné dans mon premier article, ma première visite médicale (avril) m’amène à passer une échographie (mai). La prise de rendez-vous est assez rapide. Lors de ce test, la technicienne observe quelque chose d’anormale ce qui l’oblige à demander l’avis du médecin sur place. Celui-ci constate l’état de la situation et demande immédiatement un autre examen soit un scan.

Suite à ces 2 tests, on m’informe que je devrai rencontrer le spécialiste d’ici quelques semaines et éviter tout effort qui pourrait aggraver mon état physique. Encore là, j’obtiens un rendez-vous dans un délai très raisonnable (juin).

Lors de cette consultation, le verdict tombe, deux hernies se sont développées (à gauche, assez volumineuse et à droite, en développement). La recommandation est la chirurgie pour obtenir une solution durable afin de reprendre mes activités.

Cependant, on ne peut me fixer une date officielle, car on priorise les chirurgies pour les personnes atteintes de cancer. J’accepte d’être placé sur une liste d’attente qui peut s’échelonner sur quelques mois à moins d’une annulation de chirurgie.

Au bout de quelques semaines, je reçois une lettre officielle confirmant les étapes de mon aventure médicale. Je dois poursuivre ce marathon de guérison à la différence que je ne suis pas en mesure d’identifier à quelle distance je suis rendu.

Je me suis habitué à demander à La Providence de prendre les choses en main quand je ne suis plus en mesure de les contrôler. L’adage qui dit Aide toi et le ciel t’aidera est d’actualité.

Pour m’aider mentalement pendant cette période d’attente, il faut que je me conditionne à me dire que cette phase d’arrêt de course est pour m’aider à mieux repartir après cette convalescence obligée.

Probablement, c’est lorsque nous perdons quelque chose de précieux comme la santé physique et mentale que nous commençons à mieux comprendre leur importance.
Je suis comblé par la vie parce que la personne qui m’accompagne à chaque jour dans cette phase est d’un soutien inconditionnel. Huguette qui est mon épouse, massothérapeute et très méticuleuse sur les questions d’hygiène de vie est une ressource humaine incroyable.

LA PROVIDENCE JOUE SON RÔLE
Au début du mois de juillet, je reçois un appel téléphonique médical pour m’offrir une plage horaire (juillet) en vue de m’opérer. Une place est disponible à la suite d’une annulation de chirurgie. Sans hésitation j’accepte et je remercie la Providence d’avoir joué son rôle,

Le jeudi 24 juillet 2025 est la date qui a été choisie pour subir cette intervention d’un jour. L’espoir de reprendre mon activité préférée et de retrouver mon poids santé renaît doucement. Cet arrêt m’a fait prendre un peu de poids même si je fournis des efforts pour bien m’alimenter et m’abstenir de toute consommation de boisson alcoolisée. Le manque d’activité entraîne toujours des répercussions non souhaitées sur notre condition physique.

En regardant les autres coureurs s’entraîner, je me dis que je vais devoir repartir à zéro en raison de la perte de ma forme physique développée au cours de ces dernières années. Ce sera un beau défi sportif pour mes 62 ans qui arrivent doucement (septembre).

Reprendre mon calendrier de course que j’ai planifié au Canada et ailleurs : marathon d’Ottawa (mai), course des Zèbres (juin), marathon de Rimouski (septembre), Course du Portageur (octobre), en France : marathon d’Annecy (avril) et marathon du Beaujolais (novembre) et enfin mon marathon fétiche en Afrique soit le marathon de Parakou (février) sera ma grande motivation.

JOUR J
Le jour de l’intervention, la préparation se passe bien à l’exception que ma pression artérielle est un peu haute. Arrivé dans la salle d’opération, le médecin qui est responsable pour m’endormir et son équipe acceptent de procéder à mon opération. Toutefois, l’anesthésiste me souligne qu’habituellement dans un cas semblable l’opération est annulée et à sa demande je devrai informer mon médecin de famille de mon problème de tension artérielle. Encore là, je me dis intérieurement que la Providence m’accompagne pour avoir évité l’annulation de ma chirurgie.

Après mon opération de plus de deux heures, mon réveil se passe bien et on me donne mon congé officiel en soirée avec toutes les recommandations pour ce type de chirurgie.
Arrivé à la maison familiale, la maman de 89 ans est heureuse de revoir son fils unique et à ma demande elle me prépare sa soupe préférée pour

apaiser ma faim arrivée soudainement. Jusque-là, tout se déroule bien, mais au ralenti.
Il ne faut qu’une visite à la salle de bain pour me sentir soudainement très faible. À la sortie de la pièce, je réussis à appeler ma conjointe avant de perdre conscience et de tomber dans ses bras.
Sa présence m’a été d’un grand secours puisque dans le corridor étroit où j’ai chuté beaucoup d’objets auraient pu me blesser. Il a fallu plusieurs efforts de la maman et d’Huguette pour me soutenir physiquement et me réveiller. La perte de conscience est une étrange sensation. On a l’impression de basculer dans un autre monde.

En sécurité dans mon lit, je décide d’appeler le service Info-Santé 811 pour expliquer la situation que je viens de vivre. L’infirmière qui me rappelle est très aimable et m’incite fortement à retourner à l’urgence de l’hôpital. Selon le protocole d’une telle opération, la perte de conscience n’est pas normale.

Nous réussissons à trouver une personne bienveillante, notre beau-frère Paul, pour nous amener à l’urgence. II est à peu près 22 h 30 quand une infirmière au triage nous accueille rapidement. Huguette et moi lui expliquons notre situation. Cette infirmière d’expérience (Hélène) nous accompagne d’une façon remarquable.

Je dois passer deux tests (prise de sang et cardio) et rester à l’hôpital pour rencontrer le médecin en service. Cette consultation aura lieu le lendemain vers 9h pour m’apprendre que j’ai fait une syncope. Après quelques conseils, on me donne mon congé d’hôpital.

LA PRISE DE MÉDICAMENTS
Pour m’aider à gérer la douleur de mon opération, on me prescrit 2 types de médicaments. Malgré la prise de ces médicaments, je ressens toujours une douleur intense quelques jours suivants ma chirurgie. Ma hanche droite me fait tellement souffrir et j’ai de la difficulté à marcher.

Une fois de plus, je téléphone Info-Santé 811 pour communiquer mon impression que cette douleur ne me semble pas normale. On me recommande d’entrer en contact avec mon médecin de famille pour expliquer le tout.

Encore ici, la Providence est présente puisque le jour même de mon appel téléphonique à la clinique, une place est disponible pour une consultation d’urgence. De plus, le médecin que je rencontrerai est celui qui a géré mon dossier et a entrepris toutes les démarches auprès du spécialiste pour mon opération. Je suis temporairement un patient de cette clinique par mon statut d’orphelin du système de santé à la suite du départ à la retraite de mon médecin de famille.

Après une évaluation générale et les explications que je lui fournis, le médecin m’indique que tout semble normal à l’exception qu’il va me prescrire d’autres médicaments pour m’aider à gérer cette douleur. II me souligne que parfois les spécialistes et les médecins généralistes ont des avis différents sur la prescription des médicaments pour ce type de chirurgie.

Et pour respecter ma promesse faite au médecin qui m’a anesthésié, j’informe le médecin généraliste de mon problème de haute pression. Ce dernier prend le temps de bien m’expliquer ce problème de santé que j’ai toujours bien contrôlé avec le sport. Finalement, j’accepte la médication proposée pour gérer le tout.

LE JOUR ET LA NUIT
De retour à la maison, je débute très sérieusement la prise des 4 médicaments prescrits. En l’espace de 24 heures, je sens un changement majeur dans mon corps. La douleur a énormément diminué et je me déplace plus facilement.

En date d’aujourd’hui je constate que ma nouvelle médication a une influence positive importante sur ma période de réhabilitation physique.

Cette expérience me confirme qu’être à l’écoute de notre corps est très important. L’attention que l’on y porte permet de suivre l’évolution de notre état de santé.
Appliquer ce principe lors de la réalisation d’un marathon est primordial pour nous aider à franchir toute distance à parcourir.
« Qui de mieux que nous-mêmes pour ressentir les effets physiques des décisions médicales. »
Mon prochain rendez-vous médical avec mon spécialiste aura lieu à la mi-septembre et je pourrai en savoir un peu plus sur l’évolution de ma guérison.
D’ici là, je continue à demeurer vigilant dans mes déplacements et j’évite tout effort physique.

Cadeau de la vie
Pendant toute cette période, la vie a été très généreuse à mon égard.

Pour ma famille, elle a permis à un nouveau venu de se joindre à notre voyage terrestre. II s’agit d’Arthur qui est arrivé au mois de juillet, un peu avant mon opération. Nous devions le voir seulement au mois d’août étant donné que nous sommes à 8 heures de route de la résidence de Marie-Hélène et Justin, les heureux parents, et en plus je devais terminer une mission professionnelle. Avoir eu la chance de voir mon petit-fils âgé de quelques jours me porte à croire que la Providence avait prévu de devancer notre date de visite. II est aussi étonnant de constater comment la vie te donne et aussi t’enlève des personnes de ton entourage. J’ai compris et accepté qu’il y a un temps pour arriver, un temps pour rester et un temps pour partir.

Du côté professionnel, on m’a sollicité pour un entretien professionnel en lien avec un poste de direction dans le monde du loisir, du sport et du développement des communautés ce qui me permet de connaître un autre événement de course à pied qui se nomme la course du 50e parallèle et qui aura lieu le samedi 21 septembre prochain.

Qui sait, ce sera peut-être ma première course à réaliser après ma reprise d’entraînement ?

Je termine en remerciant les responsables de cette revue virtuelle d’avoir accepté de publier ce texte qui est pour moi une préparation mentale à ma reprise de l’entraînement physique.
Bonne fin de saison à tous les coureurs et toutes les coureuses.

Mon marathon de guérison

Mon marathon de guérison

Quelle merveilleuse machine ce corps humain! Le «concepteur» a tout prévu. Quand il est utilisé de façon inadéquate, il te répond à sa façon.

Depuis que j’ai débuté sérieusement la réalisation de marathons et d’ultra-marathons en avril 2011, je me suis infligé bien involontairement quelques blessures sportives qui se sont rétablies assez rapidement grâce à la collaboration de ma compagne de vie Huguette qui est massothérapeute et une bonne conseillère en nutrition et en hygiène de vie.

Par exemples, une entorse à la cheville, un étirement musculaire ou une douleur dorsale prenaient quelques semaines de traitement avant de reprendre mes entraînements en vue de mes prochaines courses.

En février dernier, au Bénin, ma réalité pour les blessures sportives a atteint un autre niveau que je n’avais pas encore vécu dans mon parcours sportif amateur.

En effet, à la suite de ma participation au Marathon de Parakou dont je réussis à terminer, une importante enflure apparaît au bas du ventre côté gauche et me provocant un durcissement du ventre accompagné d’intenses douleurs.

Étant à quelques semaines de mon retour au Canada, rapidement mon épouse Huguette contacte notre médecin de famille, le docteur Baguidi de la Clinique As du coeur de Parakou.

Les résultats de l’échographie démontrent la présence d’une hernie. Selon mes recherches, ce type de blessures est souvent causé par des efforts extrêmes. Cette information m’amène à réévaluer mon programme d’entrainement mis en place pour ce marathon. Pourtant, il est comparable aux précédents, mais avec la différence d’un ajout de montées de côtes assez ardues et l’augmentation de la longueur de pelletage de neige durant l’hiver.

Un traitement approprié réussit à m’enlever la douleur, mais pas à éviter la proposition par l’équipe médicale africaine de procéder à une chirurgie pouvant être effectuée quelques jours avant mon départ en avion.

Après une consultation familiale, notre décision est d’attendre d’être en sol québécois pour voir si une guérison naturelle peut se produire puisque nous avons lu que cela est possible.

À mon retour, je poursuis ma convalescence naturelle en me limitant à marcher de très courtes distances dans l’espoir que mon corps se rétablisse. Malheureusement, en aidant une personne à placer des tables, je ressens à nouveau une douleur intense.

Une fois de plus, je dois obligatoirement consulter un médecin afin d’établir un autre diagnostic pour cette blessure. Avec l’aide de la Providence, je réussis à obtenir un rendez-vous médical après une gymnastique bureaucratique avec mon ancienne clinique familiale. Je suis devenu un orphelin du système de santé en raison du départ à la retraite de mon médecin de famille.

Lors de mon rendez-vous, en présentant une photo souvenir de mon état physique et mon rapport d’échographie du Bénin, le médecin généraliste constate rapidement l’urgence de ma situation physique.

Sans hésiter, il me place sur sa liste de patients, m’envoie faire des analyses sanguines et planifie mes prochains rendez-vous médicaux (échographie et spécialiste).

On verra la suite des choses, mais la chirurgie risque d’être au rendezvous à moins que La Providence ne s’ingère dans ce dossier comme elle l’a déjà fait avec d’autres personnes. La lecture du livre de Didier Van Cauwelaert – L’insolence des Miracles nous raconte de merveilleuses histoires de guérisons médicales inexpliquées.

Dans l’attente, cette situation particulière m’oblige au repos forcé et je dois annuler tout mon calendrier de courses pour cette année soit : Courir pour les Zèbres (juin), le marathon de Rimouski (septembre), Courons Gatineau (septembre), La Course du Portageur (octobre) et le marathon de Beaujolais – France (novembre).

Je pense bien que cet arrêt sera plus long qu’à l’habitude étant donné l’importance de la blessure et aussi parce que selon mes dernières observations, mes blessures sportives guérissent moins rapidement que lorsque j’étais plus jeune. J’ose comprendre que ma machine de 61 ans me demande de ralentir pour mieux récupérer.

Du côté mental, c’est une période de deuil et pour une personne qui aime l’action elle est assez compliquée.

Finalement, je sais qu’en m’imposant ce marathon de guérison, je mets toutes les chances de mon côté pour que cette blessure guérisse parfaitement afin de reprendre mes entraînements pour mon marathon fétiche au Bénin en février 2026. Cet événement sera encore une fois associé à la cause sociale.

Bonne saison de course à tous et à toutes.
marathon de guérison

L’Échappée de l’Isle-aux-Coudres

L’Échappée de l’Isle-aux-Coudres

L’Échappée: courir autrement, ensemble, sur l’Isle-aux-Coudres

Il y a des courses qu’on court pour le chrono, d’autres pour la médaille. Et puis, il y a celles qu’on court parce qu’on a envie de s’éloigner un peu et de ralentir pour mieux avancer. L’Échappée, c’est exactement ça. Un moment suspendu, entre fleuve et montagnes, où l’on troque les bouchons de circulation pour une traversée en bateau et les rues bruyantes pour le chant du vent dans les arbres.

Chaque printemps, l’Isle-aux-Coudres accueille cette course pas comme les autres. Une course de route, une course de trail, mais surtout une expérience.

Changer d’air sans aller loin

Partir courir sur une île, au Québec, ça sonne un peu comme une aventure. C’en est une. L’Échappée commence avant même la ligne de départ, avec le traversier, la lumière qui danse sur le fleuve, le vent un peu frais qui rappelle que c’est encore le début de la saison.

Beaucoup en profitent pour faire un week-end complet et dormir dans une auberge chaleureuse, manger local, marcher sur la grève, observer les oies blanches au lever du soleil. C’est une manière douce de voyager, une façon de se rappeler qu’on n’a pas toujours besoin d’aller loin pour se sentir dépaysé.

Ce qui rend L’Échappée si particulière, c’est aussi les gens. Les coureurs qui viennent de Québec, de Montréal, de Baie-Saint-Paul, ou d’un peu partout, mais aussi les bénévoles, les familles qui applaudissent, les enfants qui courent leurs premiers 1 km, yeux brillants. Il y a quelque chose de profondément humain dans cette course.

Pas besoin d’être un pro pour se lancer

L’Échappée, c’est aussi une course accueillante. Pas besoin d’avoir des années d’expérience pour s’y inscrire. Il y a des formats pour tous les niveaux : du 1 km pour enfants au 10 km, en passant par les deux parcours principaux de 21km et 23 km. On peut y aller pour performer, bien sûr, mais aussi pour découvrir. Pour essayer quelque chose de nouveau.

C’est un événement où l’on se sent inclus. On y voit des parents courir avec leurs enfants, des groupes d’amis qui discutent au départ, des coureurs seuls qui finissent avec des compagnons improvisés. On y sent une communauté.

Une cause portée dans chaque foulée

L’Échappée soutient la cause de la prévention du suicide, en collaboration avec le Centre de prévention du suicide de Charlevoix. Ici, courir peut aussi être un geste de solidarité et chaque foulée peut porter un message, une mémoire, une intention. L’idée, c’est de se souvenir que la course, c’est aussi un espace pour parler, pour briser les silences.

Les inscriptions sont ouvertes!

Que vous soyez coureur de route, amateur de trail, ou simple curieux de nature, L’Échappée a quelque chose à vous offrir. Pas juste un parcours, une expérience, un moment pour respirer, pour bouger, pour être ensemble.

Parce qu’au fond, courir, c’est peut-être ça : trouver un rythme qui nous relie et qui nous rallie.

Infos utiles
Isle-aux-Coudres, Charlevoix
13 au 15 juin 2025 2025
Distances : de 500 m à 23 km

Au profit du Centre de prévention du suicide de Charlevoix
Inscriptions:
https://echappeeiac.com/

Le Demi-Marathon des Guépards à découvrir

Le Demi-Marathon des Guépards à découvrir

Si vous cherchez un demi-marathon axé sur la famille, proche des centres urbains, à un prix abordable avec une médaille toujours incroyable, le Demi-Marathon des Guépards est votre prochaine destination.

La course se déroule à Saint-Eustache les 3 et 4 mai prochain et les distances offertes sont 1 km, 2 km, 5 km, 10 km et 21.1 km. Parc Rivière-Nord, 706, rue Primeau, Saint-Eustache, QC, J7R 7C6

Le parcours est relativement plat et idéal pour les nouveaux coureurs ou ceux qui veulent améliorer leur temps de course. Une belle descente vous donnera un second élan dans les derniers kilomètres.

Bref, une course bien organisée au profit des athlètes amateur de la région.

La 17ème édition du marathon Salesien

La 17ème édition du marathon Salesien

La 17ème édition du marathon Salésien de Parakou a connu son épilogue ce Samedi 8 février 2025 dans la Cité des Kobourou. Inscrit sous le thème  » Levez-vous après que vous aurez été assis  » ce grand événement sportif du Septentrion a ressemblé plus de mille (1000) participants venus de plusieurs pays. Le Canadien Luc GELINAS a participé à cette édition comme à l’accoutumée en s’associant à une cause humanitaire Québécoise (Auberge La clé des Champs de Saint-Cyprien).

Déjà à 5 h du matin, le top a été donné à Badakperou pour les 42, 195 km avec pour arrivée la Communauté de formation des oblats à Baka. Ensuite, ceux des 21, 100 km ont été lancés dans le quartier Okédama pour lancer enfin ceux des 10 et 5 km au quartier Baka. Les 10 premiers des 42,195 km (hommes et femmes) ont été distingués avec à leur tête chez les hommes le ghanéen KWEITU Richard qui a réalisé une performance de 2 h 28 mn 48 s. Chez les femmes, DJEREKOU Bertille est en tête avec une performance de 3 h 34vmn 50 s. Il faut noter également la participation des personnes en situation de handicap pour les 42, 195 km.

Du côté des 21, 100 km égale- ment, les 10 premiers ont été récompensés chez les hommes et 8 premières chez les femmes. YANI Yatto a occupé la première place chez les hommes avec une performance de 1 h 09 mn 19 s. Chez les femmes, SIN- KOMA Robertine est en tête avec une performance de 1 h 39 mn 07 s. Parlant des 10 km, AZONHIN Sylvain a occupé la première place chez les hommes avec une per- formance de 32 mn 41 s. SANWE- KOUA Odette a occupé la première place chez les femmes avec une performance 37 mn 30 s.

Chez les 5 km, SACRAMENTO Charly est en tête avec une performance de 19 mn 14 s. Pour les femmes, OROU GNON Nawal est en tête avec une performance de 23 mn 36 s.

Il faut noter que plusieurs prestations artistiques ont accompagné cette cérémonie de remise de prix. Le dispositif sanitaire, sécuritaire et les points de ravitaillement déployés sur les passages de course laissent aisément dire que cette 17è Édition du marathon Salesien de Parakou est un succès. Le couple GELINAS-BEKINDE a offert pour l’édition prochaine des présents. La 18è Edition du marathon salésien est prévue pour le samedi 14 février 2026 avec pour thème « Quand nous sommes combattus par quelques vices embrassons la vertu contraire ».